Parler de délation peut froisser. « Je n’aime pas ces termes de délation, de dénonciation, qui ont une connotation négative », avertit Jean-Philippe Brandt, qui préfère parler "de courage civique". « Si quelqu’un s’adonne à des dégradations sur la voie publique, sur une voiture par exemple, on parlera d’un acte civique », précise le responsable officier de la communication de la police genevoise.
Une pratique plus développée en Suisse alémanique