Dix ans après la tuerie de Chevaline, la seule évolution de l’enquête attendue ces jours-ci se déroule sur le plan judiciaire. Les juges en charge du dossier pourrait changer.
Cette aire de stationnement, au bord de la route de la Combe d’Ire, est aujourd’hui tristement célèbre. Même si tous les randonneurs ne sont pas au courant que c’est ici qu’a eu lieu la tuerie de Chevaline.
Michèle Domenge-Chenal est devenue maire de Chevaline en 2020. Elle raconte comment la tuerie survenue huit ans plus tôt a bouleversé la quiétude de ce paisible village de 200 habitants.
Dix ans après le quadruple meurtre de Chevaline, le 5 septembre 2012, le tueur n’a pas encore été identifié, malgré le travail considérable réalisé par les enquêteurs. À l’heure où l’affaire est en passe de devenir une «cold case», l’Essor rouvre le dossier à travers dix questions.
À l’issue d’une garde à vue d’une trentaine d’heures, le motard témoin dans l’affaire de la tuerie de Chevaline a finalement été libéré jeudi 13 janvier, sans charge retenue contre lui. La procureure d’Annecy Line Bonnet revient sur cette séquence judiciaire très médiatisée.
La tuerie de Chevaline a connu un nouveau rebondissement, mercredi 12 janvier 2022, avec le placement en garde à vue d’un suspect. Sa garde à vue a finalement été levée jeudi 13 janvier et aucune charge n’a été retenue.
Rebondissement de taille dans l’affaire de la tuerie de Chevaline, non élucidée depuis presque dix ans : un individu a été placé en garde à vue ce mercredi 12 janvier 2022, dans les locaux de la section de recherches de Chambéry.
Neuf ans après le quadruple meurtre survenu au bord du lac d’Annecy, l’instruction se poursuit sur le terrain. Durant deux jours, magistrats, gendarmes et témoins reviennent dans la désormais tristement célèbre Combe d’Ire.
Le périmètre de la route de la Combe d’Ire va être bloqué durant deux jours pour les besoins de l’enquête sur la tuerie de Chevaline, qui reste non-élucidée neuf ans après.
L’une des affaires criminelles les plus retentissantes de la décennie, la mort de trois membres d’une famille britannique d’origine irakienne et d’un cycliste savoyard le 5 septembre 2012 à Chevaline, n’est toujours pas élucidée neuf ans après. Le point sur l’affaire en trois questions.
À l’heure où elle quitte son poste de procureure de la République, après 5 années passées à Annecy, Véronique Denizot revient sur cette affaire « extraordinaire », qui a occupé une partie de son temps, ces dernières années.
Le Canard Enchaîné révélait, dans son édition du 24 février, qu’une nouvelle piste criminelle avait émergé, qui pouvait éclairer la tuerie de Chevaline, non résolue depuis 2012.
Mercredi 2 septembre, un homme d’environ 70 ans a été retrouvé mort à côté d’une voiture incendiée à l’entrée de la Combe d’Ire, huit ans presque jour pour jour après le quadruple assassinat de 2012, et non loin du même parking. Ce Doussardien s’est aspergé d’essence achetée le matin même avant de mettre feu à son corps.
De nouveaux éléments au sujet de la découverte d’un corps à Chevaline ce mercredi 2 septembre ont été dévoilés par le parquet. La victime serait un Doussardien âgé de 70 ans, il n’y aurait eu « aucune intervention d’un tiers » et deux armes ont été trouvées dans la voiture calcinée qui se trouvait à côté de lui.
Après la découverte d’un corps à l’entrée de la Combe de Chevaline ce mercredi 2 septembre en début de matinée, les sections de recherche de Chambéry et d’Annecy, appuyées par un hélicoptère, ont effectué les premières constatations. La procureure de la République d’Annecy a assuré à L’Essor que cette affaire n’avait « aucun lien » avec le quadruple homicide de 2012.
Ils sautent dans le vide du haut des montagnes. Volent à 200 kilomètres heure parmi les oiseaux. Déclenchent leur parachute et se posent comme des plumes. Les base-jumpeurs ont la tête sur les épaules.
Le corps du parapentiste de 42 ans a été retrouvé sans vie au pied d’une barre rocheuse dans le secteur de la Combe d’Ir, dans le massif du Charbon. Il avait disparu depuis mardi 25 août.
Les recherches se poursuivent ce jeudi 27 août, après la disparition inquiétante d’un homme de 42 ans parti effectuer un saut de parapente dans le massif du Charbon, mardi 25 août.