Mathilde et Justine Jacqueline sont sœurs, depuis quelques années elles ont rejoint leur père au sein du domaine viticole familial, à Aix-les-Bains. Les frangines n’ont rien à envier aux hommes qui dominent ce secteur professionnel.
Depuis quelques années, les vins de Savoie se retrouvent sur les cartes des meilleures tables étoilées de la région. Pour en savoir plus, l’Essor a rencontré une formatrice en sommellerie.
Entre lac et montagnes, la Savoie est aussi une terre de vignobles. Longtemps dépréciés (cantonnés à la fondue/raclette/tartiflette), ces vins bénéficient aujourd’hui d’une véritable renommée, grâce au travail de longue haleine des professionnels du secteur.
Du vendredi 18 au lundi 21 novembre, la ville de Gex accueille pour la trentième année consécutive le Salon des vins et de la gastronomie. Au programme de cette année, pas moins de 88 exposants seront présents à l’espace Perdtemps.
Fermée en 1992, la cave des Prés-Riants a fait partie du patrimoine d’Aix-les-Bains pendant plus d’un siècle. Elle abrite aujourd’hui les locaux de l’Association aixoise de l’entraide (AAE) et du Secours catholique. Eric David, fils de l’ancien caviste, nous raconte.
Grande consommatrice mais petite productrice, la Suisse exporte peu son vin. Avec des cépages rares et des conditions de production particulières, le pays propose toutefois des crus de grande qualité.
Les vendanges ont commencé le 16 septembre au domaine de la grande cave de Crépy. Des vendanges tardives, puisque les vignerons espéraient voir grossir un peu les raisins. La qualité devrait être au rendez-vous, mais peut-être pas la quantité.
Terre de vin depuis l’Antiquité, le Chablais continue aujourd’hui d’accueillir sur son territoire des vignobles, en pleine effervescence pendant cette période des vendanges. L’occasion de découvrir les coulisses de ces domaines.
Si le cru 2022 s’annonce bien meilleur que celui de l’an passé en termes de quantité, les aléas climatiques et le manque de main d’œuvre contraignent à un optimisme relatif...
Xavier est l’heureux papa de Justine et Mathilde, deux trentenaires pétillantes qui débordent d’idées pour faire évoluer le domaine viticole familial. Depuis quelques années, père et filles travaillent ensemble, à Aix-les-Bains.
Benoit Badin, installé à La Biolle avec sa famille, était ingénieur chez EDF. Après avoir pris une année sabbatique pour réfléchir au sens que sa vie avait, il a décidé de devenir artisan vinaigrier. Une reconversion inattendue qu’il prépare avec enthousiasme.
Depuis 2017, Pierre-Henri et Maurice de Menthon - les co-propriétaires - ont pris l’initiative de replanter de la vigne autour du château, en collaboration avec le viticulteur Florent Héritier.
Mille ans que le château de Menthon est dans la même famille. Ses propriétaires actuels ont intégré la permaculture et un vignoble en biodynamie au lieu. Une manière d’accorder le passé et le présent.
C’est un patrimoine méconnu, qui remonte pourtant à plusieurs millénaires. La culture de la vigne dans le Genevois est une tradition qui date de bien avant les Romains. Qu’en reste-t-il aujourd’hui ?
Chaque année depuis 10 ans, le Club des plaisanciers immerge des bouteilles de vins de Savoie dans le lac du Bourget. Cet événement donne lieu à une cuvée originale.
Autrefois renommée pour la qualité de son vin blanc, avec une production viticole active et prolifique durant de nombreux siècles, Bossey est aujourd’hui, avec son golf très chic, l’une des communes les plus aisées du Genevois français.
En une quinzaine d’années, la réputation de ses vins n’est plus à faire. Philippe Héritier a en effet acquis une notoriété, notamment grâce à sa philosophie qui lui est propre : faire du bon vin en accord avec la nature.
Des vignes de Féternes, il ne reste plus que quelques vestiges au bord des routes. En 1953, André Jordil a entrepris de replanter quelques pieds pour perpétuer la tradition de ce vin historique et reconnu. Enfants et petits-enfants reprennent aujourd’hui le flambeau.