L’industrie fait partie intégrante de l’économie de la vallée. Avec près de 450 entreprises, plus de 12 000 emplois et un chiffre d'affaires de 2,3 milliards d’euros en 2019, l’industrie du décolletage est profondément ancrée dans l’économie et l’histoire du territoire.
Après un retour de la croissance en 2022, le début de l’année 2023 est « beaucoup plus mou » pour le décolletage en Haute-Savoie. La hausse des énergies met certaines sociétés en difficulté et accélère les rachats d’entreprises du secteur.
A l’heure où l’industrie automobile doit se réinventer, des réflexions commencent à émerger autour de l’hydrogène. Au point de considérer cette production comme une solution d’avenir ?
En pleine réflexion post-fin du moteur thermique, à l’horizon 2035, l’industrie automobile et ses sous-traitants ouvrent leurs possibilités à d’autres marchés. C’est dans cette optique que des opportunités dans la filière hydrogène, commencent à émerger.
Les industriels de la vallée de l’Arve sont continuellement confrontés à des difficultés de recrutement. Un phénomène qui s’amplifie depuis quelques mois. Face à cette problématique majeure, les employeurs doivent se réinventer et trouver des solutions pour attirer les candidats. La formation est un des outils clef face à la pénurie de main d’oeuvre.
Si la problématique du recrutement dans la vallée ne date pas d’hier, il semble qu’elle se soit amplifiée ces derniers mois. L’industrie, particulièrement touchée, doit se réinventer pour attirer les candidats.
Quatre entreprises de la vallée de l’Arve se sont rassemblées en un consortium, WeShift, afin de concevoir et produire un vélo et une voiture à assistance électrique. Retour sur cette aventure industrielle.
Les 125 ans du Sndec interviennent à une époque dominée par divers défis pour le décolletage. Entre crise énergétique et fin du moteur thermique en 2035, le syndicat s’engage aux côtés des industriels pour amorcer les grands changements qui attendent le décolletage dans les années à venir.
Accompagné de Roland Lescure, ministre délégué à l’Industrie, Bruno Le Maire s’est rendu sur le site Bontaz, à Marnaz. Cette visite a été l’occasion d’échanger avec les acteurs du monde industriel, autour d’enjeux tels que la crise énergétique, le recrutement et la diversification sectorielle.
L’entreprise fait partie du groupe industriel Thermi-Lyon, leader français du traitement thermique et du dépôt sous-vide pour l’industrie. Installée depuis 1990 dans la zone industrielle des Près Paris à Thyez, Trempelec emploie actuellement près de 30 salariés.
Crise sanitaire, pénurie de composants, hausse des prix de l’énergie et des matières premières, conflit en Ukraine marquent l’activité des constructeurs automobiles au premier semestre 2022. Malgré ces incertitudes majeures, les constructeurs français continuent à investir.
Le monde de l’automobile subit plusieurs mutations fondamentales. Elles ont déjà commencé et vont durer plusieurs décennies. Technologiques, économiques ou écologiques, ces changements touchent tous les pans de ce secteur d’importance.
Le constructeur d’Aix-les-Bains dévoile sa stratégie pour répondre à la forte demande de voitures sans permis. Cela passera notamment par la construction d’une nouvelle usine.
Le Salon de la Machine-Outil et du Décolletage a ouvert ses portes le mardi 8 mars 2022. Le Simodec propose, cette année, une nouveauté aux exposants comme aux visiteurs : la mise en place des parcours d’animation technologique.
Pourtant ambitieuse, la démarche du Thononais Joseph Muller proposant de convertir les voitures thermiques à l’électrique, ne trouve pas de modèle économique viable. Balbutiante, la filière est en train de se structurer en France.
Les grandes lignes de l’événement ont été présentées lors d’une conférence de presse dans la nouvelle halle de Rochexpo, le vendredi 4 février. Alors à quoi va ressembler l’édition 2022 du Simodec ?
À Chavanod, 108 emplois sont en sursis dans l’usine Mahle, qui fabrique des pièces pour les moteurs thermiques des voitures. Alors que le groupe allemand prévoit de fermer le site l’an prochain à cause de l’évolution du marché automobile, les syndicats crient à la délocalisation.
Lors de la soirée de présentation du futur quartier derrière la gare d’Annecy, le 14 octobre dernier, les habitants ont fait part de leurs inquiétudes sur les conséquences d’un tel projet immobilier.