Consommation

Depuis plus de quatre ans maintenant, Christophe Hubert sillonne les bords du lac d’Annecy avec son R’Café Triporteur, afin de servir Annéciens et touristes. Une activité secondaire, qu’il souhaite commercialiser à plus grande échelle.

Dans le Pays de Cruseilles, la cueillette des pommes et des poires a commencé. Et la qualité promet encore d’être au rendez-vous cette année malgré les guêpes ou le campagnol qui ont fait des dégâts cette année dans les vergers.

À Annemasse, l’arrivée du tram a eu un effet bénéfique sur l’activité des commerces en début d’année. Depuis, le coronavirus est passé par là et, après des années de travaux, c’est un nouvel obstacle qu’il leur faut surmonter.

Ils font partis des derniers établissements encore fermés. Les discothèques et autres bars de nuit ont fermé leurs portes depuis trois mois. Avec le manque de consignes à leur sujet, les responsables ont du mal à sortir la tête de l’eau, et l’inquiétude prend le dessus quant à leur avenir.

Lancé en plein confinement, ce site Internet permet de passer commande en direct. C’est aussi un levier intéressant pour les professionnels de Haute-Savoie qui disposent d’un nouveau circuit de distribution.

Après l’euphorie des premiers jours de réouverture, les bars et restaurants aixois tirent un premier bilan suite à leur reprise d’activité le 2 juin dernier. Si tous sont ravis d’être retournés au travail, les résultats ne sont pas forcément présents.

Pour certains consommateurs, les contraintes sanitaires du moment coupent l’envie de faire du shopping. D’autres s’adaptent, ne voulant pas se priver de ce plaisir. Reportage dans les rues d’Annemasse.

Les commerces ne désemplissent pas depuis la mise en place du déconfinement. Reportage dans la zone commerciale du Grand Épagny, où enseignes et clients ont répondu présents, même si un essoufflement est redouté pour les prochaines semaines.

Avec la levée du confinement, la majorité des commerces a pu rouvrir lundi 11 mai, notamment à Annecy. Entre appréhension, joie et normes sanitaires, cette reprise aura été pleine d’émotions pour de nombreux commerçants.

L’insuffisance de l’autonomie alimentaire du bassin annécien est pointée du doigt depuis des années et c’est d’autant plus vrai en ce moment. Les Amap ont permis de combler cette lacune mais le manque de terrains exploitables pour l’agriculture constitue un frein.

Fermés depuis le 14 mars dernier, les commerces non essentiels, comme les bars et les restaurants, sont les premiers impactés économiquement par le Covid-19. Entre chômage et mesures sanitaires, c’est une équation difficile qui s’annonce pour les prochaines semaines.

Bonne nouvelle ! Le marché de producteurs revient à Rumilly, mais pas vraiment comme avant. Il se tient les jeudis matins sur le parvis du Quai des Arts avec une nouvelle organisation adaptée au respect des règles sanitaires.