Protection de la nature

Pour l’hydrobiologiste Victor Frossard, « on ne s’attend pas à des remaniements extrêmes de la biodiversité » dans le lac d’Annecy, malgré son réchauffement.

À la pisciculture Louis-Blanc, l’association Annecy Lac Pêche a dû installer des dispositifs de refroidissement de l’eau pompée dans le lac pour élever ces poissons et continuer à soutenir la pratique de la pêche.

Depuis les années 80, le lac d’Annecy s’est réchauffé d’environ un degré. Un changement qui peut paraître infime, mais qui demeure très surveillé pour protéger la biodiversité et la qualité de l’eau.

Avec le réchauffement climatique, le scolyte dévore les épicéas de Haute-Savoie. Pour enrayer le phénomène, l’ONF annonce devoir couper environ 10000 tonnes de bois dans la forêt du Semnoz.

Chaque année, une association britannique appelle à ne pas tondre sa pelouse au mois de mai. L’objectif : préserver et protéger la biodiversité.

Vous souhaitez vous mettre au jardinage, ou créer un potager, mais vous n’avez pas de jardin ? Voici quelques pistes pour tout de même cultiver vos propres légumes !

La préservation des arbres a toujours été un enjeu pour les municipalités, mais elle prend une nouvelle dimension depuis quelques années avec le réchauffement climatique. L’éclairage d’un élu de la Ville d’Aix-les-Bains.

Un exploitant forestier a entamé la coupe rase de 3 hectares et la coupe raisonnée de 1,5 hectares de forêt, suscitant l’indignation sur les réseaux sociaux.

Plusieurs groupes de protection des arbres et de la nature en ville se sont implantés sur le territoire ces dernières années. Si la sauvegarde des arbres est une préoccupation ancienne, elle rejoint de plus en plus celle du réchauffement climatique et du rôle de la végétation dans ce cadre.

Pour agir contre la prolifération des chats errants, sauvages, lors de son concours de chasse annuelle, la ville de North Canterbury en Nouvelle-Zélande, a décidé de lancer une compétition de chasse aux chats. Avec prix à la clé, mais aussi une très forte indignation.

Oui oriental, cette fois et pas asiatique. C’est une nouvelle espèce de frelon que viennent de découvrir à Marseille des entomologistes. Encore plus invasive et nouveau danger pour les populations d’abeilles déjà bien à la peine.