Après un démarrage en douceur, ça sent bon pour la Savonnerie du Vuache

Gilda Comestaz et ses savons en cours de séchage dans son laboratoire, jeudi 11 mai, à Dingy-en-Vuache.
Gilda Comestaz et ses savons en cours de séchage dans son laboratoire, jeudi 11 mai, à Dingy-en-Vuache.

L’histoire ne dit pas encore vraiment si Gilda Comestaz (53 ans), assistante dentaire de longue date à Saint-Julien-en-Genevois, finira par fabriquer du dentifrice («  Peut-être plus tard  ») ou des crèmes («  La réglementation des cosmétiques est très compliquée  »), mais elle laisse déjà entrevoir de belles perspectives pour sa Savonnerie du Vuache. C’est décidé, en fin d’année, la Dingienne arrêtera le métier qu’elle exerce depuis 33 ans pour se consacrer corps et âme à la fabrication et à la vente de ses savons. «  J’en suis arrivée à ce stade de mon activité où ce n’est pas suffisant pour en vivre, mais où si je veux passer un cap, il me faut arrêter le cabinet, évalue la Valleiryenne d’origine. La maison est remboursée et les enfants sont grands, donc c’est plus facile maintenant.  »

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