Il est loin d’être le premier Annécien à vivre cette situation. Pierre Jemot, retraité habitant la rue des Tilleuls à Annecy, a vu une première maison se vendre il y a quelques années à l’angle de l’avenue de Thônes. Puis celle de ses voisins, juste à côté. « On l’a très mal pris. On l’a appris par hasard », confie-t-il.
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