Il fut un temps où Aix-les-Bains était considérée comme « la ville de plaisirs de toute la Savoie », d’après Joël Lagrange, directeur des archives municipales. Aux archives justement, un rapport de police de 1934 dépeint la ville, avant la Première Guerre mondiale, comme la « reine des stations thermales », alors « très fréquentée par les prostituées ». On les trouvait notamment aux abords du casino, de la gare, du parc, de l’avenue Victoria et de la rue du Temple. « Elles abritaient leurs amours dans les hôtels et villas » des alentours ou dans « des cafés mal famés », note le commissaire.
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