Plus que la crise sanitaire, ou encore que la hausse exponentielle des coûts de l’énergie enregistrée ces derniers mois, c’est à un véritable bouleversement que se préparent, lentement mais sûrement, les industriels de notre territoire. En cause ? La fin programmée de la vente des voitures neuves à moteur thermique, à l’horizon 2035.
En vallée de l’Arve où la sous-traitance automobile est fortement représentée, ce basculement représente à la fois un risque et l’opportunité de développer de nouveaux marchés. Aux côtés du médical, de l’aéronautique ou encore de la défense, surgit un nouveau champ des possibles : l’hydrogène. Plus particulièrement la conception et la production de pièces pour les véhicules fonctionnant à cette énergie.