Accord pérenne sur le télétravail des frontaliers : ça n’avance toujours pas

Virginie Duby-Muller (micro en main) plaide pour un taux de télétravail pérenne limité à 40%.
Virginie Duby-Muller (micro en main) plaide pour un taux de télétravail pérenne limité à 40%.

Depuis juillet, Laurence ne télétravaille plus qu’un jour par semaine, alors qu’elle a exercé son activité professionnelle chez elle à plein temps pendant près de deux ans. L’accord amiable provisoire franco-suisse, reconduit à d’innombrables reprises depuis son entrée en vigueur le 13 mai 2020, n’impose pourtant aucune limite de télétravail jusqu’au 31 décembre. Les collègues suisses de Laurence, eux, restent à 100 % en télétravail. Son employeur, comme tant d’autres, a sans doute été lassé par les incertitudes qui continuent de planer sur l’avenir du travail à distance. «  J’aimerais idéalement travailler deux jours par semaine chez moi  », espère la Saint-Juliennoise.

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