Il y a d’un côté un homme de 60 ans décrit comme doux, gentil, toujours prêt à aider les autres et ne commettant jamais aucun geste déplacé. De l’autre une jeune femme de 18 ans, dépeinte par ses coéquipières comme menteuse, mythomane, peste et chercheuse d’embrouille. D’un côté un entraîneur de foot qui ne sait pas dire non. De l’autre une joueuse qui ne supporte pas qu’on lui dise non. Deux opposés présumés qui, comme l’indique Maître Paradan, l’avocat du prévenu, se sont imbriqués pour tisser pendant un an une relation amicale. Lui est célibataire, divorcé ; elle lesbienne, en couple. Et au bout de cette relation, une plainte pour 3 viols déposée par la demoiselle. Le résultat d’un piège ? La justice ne retient qu’un seul des trois faits et le requalifie en agression sexuelle. Mais comme le résume la procureure de la République Sophie Mauboussin : «
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