À tort ou à raison, il est souvent reproché à la commune frontalière d’être trop minérale et urbanisée. Cette critique pourra a priori difficilement être formulée à propos du parc Mila-Racine, dont les travaux d’aménagement, d’un coût de 745 000 euros, viennent de démarrer.
Elle pourra d’autant moins l’être que les Annemassiens ont eu leur mot à dire dans le modelage du visage de ce coin de nature de 6200 m2, qui devrait ouvrir ses portes le printemps prochain.
Certes, seule une dizaine de citoyens ont participé à la concertation citoyenne l’an dernier, mais la plateforme de participation « Imaginons Annemasse » n’avait pas encore été lancée et une soixantaine d’idées ont tout de même émergé. Elles ont été acceptées ou non en tenant compte d’invariants et de leur faisabilité technique.