À quel point une course d’alpinisme doit-elle être improvisée ? C’est la question que soulève Yann Borgnet, guide de haute montagne, avec un projet de bivouacs à 4 000 mètres d’altitude. Considérant que « le topo d’une voie normale, c’est comme une partition », le guide estime que l’alpinisme au 21e siècle consiste à « cocher » des sommets plutôt que vivre une aventure. Il a donc décidé de prendre le contre-pied en proposant non pas de conquérir ces fameux sommets mais plutôt de « vivre une expérience ».
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