Q
uel regard portez-vous sur cette deuxième année de mandat ?
Lors de la première année, on était dans un état de sidération, par rapport à ce qui était en train de se passer (crise sanitaire du Covid-19, Ndlr), avec de vraies difficultés à gérer. Avec cette deuxième année, il s’agit de convenir que le mandat a commencé, au printemps 2022. Il a été amputé, pour tout le monde, de deux années. On a subi quelque chose qu’on n’a pas vu arriver, qui est complètement inédit, qu’on espère, tous, ne pas retrouver. Cela a bousculé nos organisations, nos résultats comptables, nous a fait mal psychologiquement. On se relève. Les choses pourraient redevenir normales.