Son expérience de chef d’exploitation, lissée sur 17 années de présence au cœur du site en toutes saisons et par tous les temps, en fait un interlocuteur privilégié au regard de l’avenir de la station. Selon lui, elle souffre d’un manque de pilotage, tant touristique et technique que politique.
L’ancien adjoint de Marc Garzon ne conteste nullement le besoin d’un nouvel avenir au pied du Vargnoz, mais les choses doivent impérativement se dérouler dans le calme et la sérénité.
Un besoin de dialogue
Certains échanges qui se sont déroulés lors de la dernière réunion publique, l’amène à dire que plus que le réchauffement climatique, ce sont les hommes qui vont tuer la station s’ils ne veulent pas se parler.