« Le château de Villy présentait quelques soucis… », reconnaît avec un brin d’ironie Aline Watt-Chavallier. En effet, les infiltrations d’eau ont progressivement détruit les plafonds. « Si on n’avait pas commencé les travaux dès notre arrivée, on ne pourrait plus les faire aujourd’hui, avec l’augmentation de coûts des matériaux. » Pour la deuxième phase qui vient de débuter, les entreprises s’attaquent au corps principal du château, en commençant par la toiture.
« Pour la troisième phase, nous aurons besoin d’un budget supplémentaire, ne cache pas la première édile. Ce sera pour le premier semestre 2023, avec la réhabilitation de la salle de sport et la rénovation des salles pour les associations. Nous sommes obligés de poser un plancher pare-feu sinon on ne pourra pas rouvrir le château. »