« On est sur la ligne de crête, l’énorme risque, c’est la chute, alerte Françoise Guillemot, médecin généraliste, à Valserhône et présidente de la CPTS (communauté professionnelle territoriale de santé) Usses-Valserhône, qui enchaîne les journées de 14, 15 ou 16 heures. Je suis actuellement à plus de 3 600 patients. On arrive toujours à dire oui à des couples de retraités, qui viennent à mon cabinet, sans savoir où aller, pour avoir un médecin traitant. Mes infirmières me demandent pendant encore combien de temps on va dire oui. Cela va être invivable. »
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