Il attire immanquablement les regards. De loin, le Môle a l’allure d’un cône à l’esthétique prononcée. Son allure élancée donne aux inconditionnels des grands espaces l’envie d’aller voir à quoi il ressemble d’un peu plus près. Comme tant d’autres avant lui, David Rolandez (47 ans) est tombé amoureux de la sentinelle de la vallée de l’Arve au premier regard. « Je ne connaissais pas le Môle, je le voyais en passant et je trouvais beau le champ face sud », se souvient ce Jurassien d’origine, VTTiste professionnel à la fin des années 1990.
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