Des poissons de toutes tailles que les spécialistes ont prélevés pour analyse. Trois maladies typiques de cette période ont été étudiées : le « Carpe Edema Virus » (CEV) ou « maladie du sommeil ». La question de la relation entre cette mortalité exceptionnelle et les problèmes de pollution de l’eau a été évoquée. En fonction des résultats des analyses sur les cadavres de poissons, d’autres analyses de l’eau pourront être entreprises.
Un risque cyanobactérien peu plausible
Mais, « le risque cyanobactérien évoqué dans le bilan du plan d’eau étant très peu plausible au printemps, et surtout ne causant pas une mortalité aussi forte, les recherches s’orientent plus vers plusieurs virus qui circulent particulièrement au printemps chez cette espèce ».
Ce pic de mortalité est d’ailleurs constaté actuellement dans de nombreux plans d’eau en France.