Des lieux qu’elle affectionne, l’écrivaine Marianne Henriet s’invente des histoires et des personnages qu’elle a l’habitude de laisser mûrir en son for intérieur avant de se lancer sur le papier. Pour son nouveau roman, intitulé Phénix, elle a changé une nouvelle fois de perspective en écrivant comme si elle était un homme : « C’était différent et je voulais voir si j’en étais capable », esquisse cette Albertvilloise d’adoption.
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