Doit-on parler de soulagement ? De la fin d’un cauchemar ? D’une libération ? C’est sans doute un peu des trois.
Mais pour les parents de Maxime, Sandrine et Thierry, et pour son frère, Baptiste, ce qui compte, c’est surtout le fait justice a été rendue. Même si l’accusé a fait appel.
Un travail de fourmi
« Les enquêteurs ont fait un travail remarquable, explique Sandrine. Ils n’ont jamais lâché l’affaire. Deux ans après la découverte du corps de Maxime, ils ont identifié un suspect, grâce au fait que la carte bancaire de notre fils, volée, puis retrouvée, a enfin pu livrer les informations ADN qu’elle portait. »