Elles s’appellent Anne-Cécile, Victoire, Jennifer et Marine. Elles ont la trentaine. Et veulent faire plus que de parler de l’intimité des femmes. « Il y a le contexte #MeToo, l’épanouissement féminin qui fait tomber les tabous sur l’intimité, le livre «Sorcières», la sexualité… Mais il y a très peu d’offres derrière », contextualise Marine Boucherit, l’une des fondatrices de Gapianne.
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