On aurait aimé rencontrer Natalia Dejean en d’autres circonstances. Ne pas devoir parler avec elle de cette guerre insensée – comme le sont toutes les guerres – qui noircit l’actualité depuis déjà un mois. Face à celle qui a passé les deux premières décennies de sa vie en Moldavie, voisine de l’Ukraine, le sujet s’imposait, d’autant que ses parents sont toujours au pays, à la tête d’une gigantesque exploitation agricole de 1500 hectares : « Le 24 février, lorsque le conflit a débuté, les bombardements ont tellement résonné qu’ils ont été réveillés, rapporte-t-elle. Ils sont confiants et espèrent que la guerre ne va pas toucher la Moldavie. »
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