Éric Genève est PDG d’Anthogyr, il a intégré l’entreprise en 2002, en tant que directeur en recherche et développement.
Comment se portait l’entreprise à votre arrivée ?
Quand je suis arrivé, Anthogyr avait plusieurs activités dans le dentaire. En 2005, on a décidé de placer l’implantologie au cœur de notre stratégie. C’est un secteur sur lequel on était déjà actif, mais plutôt suiveur. Ça s’est concrétisé par une réorganisation sur le plan marketing et commercial. Là où, jusqu’alors, on suivait le marché, on voulait le percuter en innovant. On a passé 4 à 5 années intensives à travailler afin de bâtir l’offre Anthogyr, pour aboutir en 2010 à la commercialisation de notre système Axiom. C’est un moment important où on prend acte de créer une solution qu’on va pouvoir porter à l’international, pour prétendre devenir un acteur mondial de l’implantologie et de ses marchés.