C’est un dossier emblématique qui s’était retrouvé au cœur de la campagne des dernières élections municipales à Annecy. La SAS Développement et Bouygues Immobilier prévoyaient de construire 80 logements à la place d’un bâtiment désaffecté, ayant abrité par le passé des bureaux des Assédic, au 31 avenue de Loverchy. Un programme immobilier source d’inquiétudes pour les riverains, mais aussi une cible idéale pour la liste « Réveillons Annecy », qui en avait fait un symbole de la «bétonnisation» de la ville. Un an plus tard, le projet a fini par capoter. On vous explique pourquoi.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour accéder à tous nos articles en illimité,
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.
J'en profite
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.