C’est une belle aventure qui se termine, celle de la machine à voter. « Et ce n’est pas une volonté de la mairie », s’empresse de préciser Fabrice Gyselinck, qui connaît très bien les machines et leur fonctionnement. « J’étais déjà au conseil municipal à l’époque et je suis aujourd’hui le seul à être encore là. »
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