Pour l’heure, en ces temps de crise sanitaire, le télétravail des frontaliers est autorisé à 100 % dans le cadre d’un accord amiable entre la France et la Suisse. Ce qui ne change rien pour les entreprises suisses, qui continuent de payer leurs charges sociales dans leur pays alors qu’au-delà de 25 % de télétravail, elles devraient en temps normal les payer en France avec l’écueil qu’elles sont alors bien plus importantes qu’en Suisse…
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