Annecy: j’ai testé les vélos électriques WhaTT et Bikle

Le boitier du vélo électrique de WhaTT permettant de choisir le mode d’assistance.
Le boitier du vélo électrique de WhaTT permettant de choisir le mode d’assistance.

Vendredi 16 avril, en milieu de matinée, le rendez-vous est donné sur le parking d’Aqualac, à Aix-les-Bains. «  On va quitter Annecy et s’installer à Savoie Hexapole dans les prochains jours  », annonce Christophe Aubonnet, l’un des cofondateurs de WhaTT.

Simon Savre, l’un des trois ingénieurs de la start-up, sort le vélo électrique d’une camionnette grise. Dès le premier coup d’œil, le design interpelle : un guidon quasiment plat, un tube de selle large dans lequel est rangée la batterie (200 watts) de 1,3 kg. Il a une allure sportive.

Pendant quelques minutes, je roule sur le parking. Le vélo électrique est très maniable et c’est sans doute lié à son poids (16 kg) bien inférieur à la plupart des VAE.

Mais ce qui le distingue des autres, c’est sa technologie de double transmission : une par chaîne classique et une électrique. D’où le double T dans le nom du produit.

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