C’est un petit aveu d’échec : on a tenté de cerner Guillaume Tatu et on n’y est pas - complètement - parvenu. Qui est donc ce joyeux trublion de la politique locale, sorte de «prise de guerre» de François Astorg, l’an dernier, devenu l’un des détonateurs qui a fait plier Jean-Luc Rigaut ?
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