Dans le Chablais, le taux de logements vacants est de 5,9 %. C’est presque équivalent à celui de la Haute-Savoie (6 %) et inférieur à celui de la France (8,3 %). Plutôt logique quand on sait que la Haute-Savoie en général et le Chablais en particulier sont des zones où la demande de logements est forte. Mais quand on jette un coup d’œil de l’autre côté de la frontière, où la pression foncière est également importante, les chiffres de vacance sont tout autres : le canton de Vaud ne compte qu’1,4 % de logements vacants, celui de Genève 0,5 % !… Comment s’explique une telle disparité ?