Du côté de Saint-Gervais, où 50 % des vacanciers viennent pour skier, c’est la déception qui prime. « On va rebondir ! », enchaîne le directeur de l’Office de tourisme. Didier Josephe n’a pas l’habitude de se laisser abattre. Depuis mars dernier, les différents promoteurs du territoire ont montré leur capacité d’adaptation en un temps record. « Nous avons la chance d’avoir des activités autres que le ski. Nous allons encore étoffer nos propositions. Il faut que nous soyons imaginatifs. Tout le monde va se mettre en quatre pour attirer la clientèle », assure-t-il.