La montre de James Bond est suisse évidemment !

omega seamaster

De GoldenEye, on peut se souvenir de la chanson de Tina Turner ou encore de Boris l’invincible qui finit par exploser en jouant avec son stylo. Ce 17e opus de la saga James Bond, sorti en 1995, est aussi le premier à voir 007 enfiler une montre Omega, la prestigieuse marque d’horlogerie qui existe depuis la fin du XIXe siècle.

Daniel Craig s’est impliqué dans le dernier modèle

Dans « Mourir peut attendre », le dernier opus, dont la sortie est programmée en mars 2021, Daniel Craig, qui joue l’agent secret issu des rangs de la marine anglaise, arbore la nouvelle Seamaster 300M et a même participé à sa réalisation alors que c’est la première fois qu’une édition 007 est conçue. L’acteur la voulait légère et d’inspiration rétro mais elle recèle aussi des clins d’œil à l’histoire de la saga.

Ainsi, sur le fond du boîtier, toute une série de chiffres a été gravée. Le « 0552 » est le code du personnel de la marine britannique. On retrouve évidemment le « 007 » indissociable de Bond ou encore le « 62 », comme l’année de production du premier opus, « James Bond 007 contre Dr No ».

Une montre qui ne donne pas que l’heure, loin de là !

Dans l’histoire de la saga, les montres de l’agent secret ne sont pas là simplement pour donner l’heure. Le placement de produit va plus loin en leur conférant une importance pour sortir Bond de périlleuses situations. Dans GoldenEye, Pierce Brosnan se sert ainsi de sa montre comme d’un laser. Dans « Moonraker », la montre explose pour libérer l’agent joué par Roger Moore. Plus près de nous, dans « Spectre », elle se mue aussi en un agent explosif pour éviter à 007 la torture !

Bond et les montres, une histoire qui dure

La saga entretient une histoire particulière avec les marques d’horlogerie depuis ses débuts. En 1962, pour le premier, Sean Connery porte une Rolex Submariner. La première marque mondiale perdure à l’écran jusqu’en 1977, année de la sortie de « L’Espion qui m’aimait » où James porte une Seiko. Dix ans plus tard, Timothy Dalton devient Bond avec une TAG Heuer au poignet, avant de revenir à la Rolex Submariner en 1989. Avant qu’Omega ne décroche donc le gros lot en 1995.