Ce n’est pas de l’aigreur, mais une forme de colère, froide, maîtrisée. Il le répète plusieurs fois au téléphone, sans jamais s’emporter, avec une voix apaisée. « Je suis outré », insiste-t-il. Outré par la manière dont s’est passée la campagne, les débuts, l’été dernier, mais aussi les derniers jours, les dernières heures, la dernière ligne droite alors que le premier tour annonçait un 28 juin serré.
Vous désirez lire la suite de cet article ?
Pour accéder à tous nos articles en illimité,
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.
J'en profite
abonnez-vous dès 1,20€/semaine.